Mardi, c’était jour de rentrée pour les élèves de Monts-sur-Guesnes et de Ceaux-en-Loudun, en matinée.
A Monts, 145 élèves ont franchi les grilles ; un effectif en baisse par rapport à septembre 2019. Ils ont accédé à leur classe par des cheminements différenciés. Ils ont retrouvé une équipe enseignante stable… et masquée.
A Ceaux, il y avait 89 élèves à répartir dans les quatre classes de l’école ; un effectif identique à celui de l’année dernière « Pour les projets, tout dépendra de l’évolution de la situation sanitaire. Compte-tenu des mesures liées à la pandémie, nous avons fait une rentrée presque normale. Tous les élèves prévus sont présents. Faute de sortie, nous allons suivre le Vendée Globe ! », glisse Jérémy Gély, directeur de l’école Jean-Monnet de Monts.
Mardi soir, toujours à Monts, s’est déroulé le premier conseil du Sivos, syndicat qui gère les deux groupes scolaires. L’assemblée a pris acte de cette rentrée « sans histoire », avant d’aborder l’ordre du jour de la réunion. Adrian Sureau, conseiller pédagogique en informatique, a présenté le plan d’équipement numérique proposé par l’Education nationale, qui interviendra pour moitié dans les frais liés à l’achat de matériel et à son installation.
A Ceaux, un jeu de 10 tablettes et de leur matériel connexe est souhaité. A Monts, le matériel est obsolète : ordinateurs portables, vidéo-projecteur et environnement numérique de travail feront partie des investissements. Le conseil opte pour un investissement total de 14.000€, subventionné à hauteur de 7.000€.
Des conventions avec la commune de La Roche Rigault, pour un emploi technique et avec le Mirebalais pour la scolarisation de deux élèves en classe Ulis, sont validées. Diverses décisions budgétaires modificatives sont adoptées, notamment pour faire face aux dépenses liées au Covid-19 ou pour des réparations sur un mini-bus.

Cantine gratuite jusqu’à la Toussaint

Il est décidé de rendre la restauration scolaire gratuite jusqu’aux vacances d’automne, pour les deux écoles. Soit une économie de 70€ en moyenne pour les familles. Cela représente 200 repas quotidiens à supporter pour la collectivité.